Ce retour inattendu de la neige tardive est attribué à plusieurs facteurs, dont la persistance du froid polaire et des phénomènes tels que le réchauffement stratosphérique, qui peuvent provoquer des déplacements d'air arctique vers des régions plus basses.
Ainsi, malgré la période avancée de l'année, les conditions demeurent propices aux chutes de neige, comme l'ont déjà démontré les bordées d'avril, dont la plus marquante remonte à avril 2010 avec une accumulation record à Montréal.