«C'est près de 70 % des employés de la SAQ qui sont à temps partiel, sur appel, et qui ne savent jamais combien d'heures ils pourront travailler à la prochaine séquence de paye. C'est inacceptable qu'une société d'État maintienne autant d'employés dans la précarité, alors qu'il est possible, comme nous en faisons la démonstration à la table de négociation, de consolider toutes ces heures dans des postes réguliers. »