« J'aimais ça, avant, les chants de bataille. Les qualifications ont aussi leurs bons côtés, car il n'y a pas de passe-droit pour personne, ce qui rend les choses justes. [...] Mais à la fin, il faudrait que chaque coach ait un candidat en finale.
On appréhendait [qu'un coach n'ait pas de finaliste], je trouvais que ça rendait la compétition un peu inégale. [...] C'est sûr que j'étais déçu, surtout pour mes candidats qui prenaient ça à coeur. »