Après le Syndicat des agents de maîtrise de TELUS, le Syndicat québécois des employés de TELUS découvre à son tour que 316 de ses membres recevront des offres de départ volontaire sans remplacement.
Cette décision crée une vive inquiétude parmi les travailleurs, qui font face à une suppression record d'emplois en une seule annonce.
Depuis 2021, un total de 770 offres de départ volontaire ont été dénombrées. Jean-Nicolas Banville, président du SQET, critique sévèrement TELUS pour le déplacement d'emplois hors du Québec, mettant ainsi en danger les emplois à Rimouski.
Le SQET appelle à l'ouverture d'un dialogue avec la direction pour assurer la pérennité de l'emploi, remettant en question les principes de responsabilité sociale d'entreprise de TELUS.