Après avoir remporté une première poursuite pour atteinte à sa vie privée, cette fois-ci, sa demande a été rejetée. Les avocats de Charest ont plaidé que l'UPAC avait mal géré la sécurité des informations, mais le tribunal a souligné l'absence d'identification de l'auteur des fuites et la continuité de l'enquête.
En résumé, malgré une précédente victoire pour la divulgation de ses renseignements personnels, la Cour supérieure a rejeté la demande d'indemnisation supplémentaire de Charest, estimant que les arguments présentés n'étaient pas suffisamment convaincants.